Attraper un Vampire

Victor entreprit de regarder partout, il s'avéra difficile de regarder sous le lit sans se tacher avec le sans sur le tapis. Puis, quelque chose bougea dans le garde-robe.

Victor se retourna, bondissant, le poil hérissé partout sur le corps, était-ce une dépouille de personne vidé de son sang, un boogy man, une queen alien peut-être ou un Christian dans un costume de Denis ???.. Hélas non, tout ceci étant mis en oeuvre pour le convaincre d'abandooné sa peur... PIRE l'attendait dans le garde robe.

Il s'approcha lentement de la porte, n'y faisant face sous aucun prétexte pour ne pas avoir la mauvaise surprise de cette antité fonca droit sur lui si elle en sortait innopinément.

Il ferma donc la porte de la chambre, et par la suite, dans un movement digne de John Travolta dans ses jeunes et fougeuse année de dance, il alla ouvrir la porte du garde-robe, gousse dans en main, prêt la la jetter peu importe sur quelle créature immonde puisse sortir du placard.

Victor ouvrit le garde-robe, gousses d'ail à la main. Il y avait un tas de linge accroché sur la pôle. Puis par terre dépassait une paire de jambes, vêtus d'un jeans serré et d'espadrilles de skate. Des jambes de fille, de jeune fille. Elle était vivante, les jambes tremblaient de peur.

Victor dégagea les scintres pour découvrir une adolescenteaux cheveux blond platine, teindu. Ses grands yeux fixaient devant elle et ne clignaient même pas. Elle tremblait, trop traumatisé pour même remarquer la présence de l'homme à la queue de cheval.

Alors que Victor tassa les vêtements de devant la jeune fille lentement mais surement, il était totalement stupéfait, aussi pétrifié qu'elle était elle ne clignait pas des yeux... elles devait avoir une super lubrification oculaire donc Victor devait asbolument savoir le secret... hésitant de lui rentrer un coton tige dans l'oeil il se dit que ce n'était pas une bonne idée de la traumatisé d'avantage.

Victor réfléchissa quelques instant, puis d'un coup, poka la jeune fille avec l'ail. Peut-être l'antité s'était-il déguisé par un quelconque subterfuge dans le but de fuir sans problème. Il poka alors la fille l'air de rien, lui disant : "N'aie plus peur, c'est terminé, tu ne risques plus rien, je suis un ami..." Alors qu'il pensait à cette phrase fétiche de Family Guy lorsque Quagmire vit une fillette ligoté dans une salle de bain.."C'EST À MOI TOUT CA"... Mais non... Victor avait plus de conscience que celà. Il dit à la jeune fille de rester caché si elle ne réagissait pas à l'ail et qu'il reviendrait.

Il fit le tour complet du sous-sol, puis, après une recherche totalement infructueuse il alla chercher la fille.

L'ail ne fit rien sur la fille, Victor fit donc le tour de la maison. De retour au rez de chaussé, Victor vit tout de suite que la porte avant de la maison était mal fermée. Il alluma les lumières, puis constater le tas de poussière dans le salon. Il devait bien y en avoir l'équivalent d'une bonne poche de sable. La poussière semblait s'être mêlée avec quelque chose de fondu, des vêtements fondus, puis un percing traînait également à côté du tas de poussière.

Lorsqu'il retourna chercher la fille, elle était comme une poupée de grandeur humaine, Victor n'avait aucun problème à la lever ou à la faire marcher, mais elle n'avait pas de réaction faciale, ou très peu du moins. Victor se rapella que les humains normaux oubliaient lorsqu'ils voyaient quelque chose de surnaturel, peut-être y avait-il une période de transe ou de trauma.

Victor saississa donc le fille, regarda le tas de sable mélangé avec les vêtement brulé puis il réfléchissa. Dans buffy, un vampire tué se transforme en cendre, mais Victor ne comprennait pas puis... BIEN SUR, la balle de fusil.... mais il était étrange qu'un vampire soit mort d'une seule balle presque de facon instantanné. Quoi qu'il en soit, il en saissa un peu avec son pot masson et sorti de la maison de laquelle il avait fait le grand tour sans succes...

Victor pensait dans sa tête.

Nous nous reverons. Suivi d'un rire démoniaque... comme c'étais dans sa tête Victor avait le choix de plusieurs effet sonore, cependant, à travers la la panoplie de choix, il choississa un écho un peu feutré pour ajouter un petit pep à son rire.

Par la suite, Victor fouilla la jeune fille à la recherche de papier d'identité, d'un adresse ou quelque chose. Par la suite il se dit qu'aller la reconduire chez elle dans cette état, il passerait pour un violeur, il décida donc d'aller la reconduire à l'hopital et du fait meme, rejoindre Thomson et Jim...

À l'hopital il n'aura qu'à dire qu'il la retrouvé sur le bord du chemin dans cet état, quoi qu'il aura l'air suspect, un test pour voir si elle a été violé démontrera que Victor n'a rien fait. Implacable et fatidique logique.

Victor embarqua la fille dans la voiture, puis alla à son tour s'asseoir de son côté. Il chercha ses clefs dans ses poches puis l'adolescente marmonna quelque chose. Les yeux toujours fixées, elle se mit à parler, toujours à voix très basse. Victor attendit avant de démarrer la voiture pour entendre ce qu'elle disait.

...

-Le sang... le sang... le sang...

Elle répéta ces mots plusieurs fois avant de s'arrêter puis recommença, mais cette fois elle continua des phrases plus longues. C'était comme si on faisait jouer une cassette en boucle, elle ne s'exprimait pas, elle récitait un texte par coeur.

-Le sang coule comme l'eau, de tes veines il te fuit et te quitte.

Un désert de vide et de mort t'emplit.

À nouveau, du ciel, tombe la pluie. Elle rougit ton aspect et te solidifie.

Mais tu resteras toujours une dune, une vieille dune de sable éternelle, sèche et sans vie.

Elle se mit systématiquement à répéter ces phrases.

Victor n'avait jamais aimé les charades, encore moins les comptines... et encore moins les poèmes... en fait il les détestes.... eux... les "AAaartistes". Ceux de la race qui croit que le monde leur est dû... ceux qui croit qu'ils ont toujours raison, qui se dise ouvert d'esprit mais qui passe leur temps à critiquer les autres disant qu'eux ils ont raisons... DES CONNARDS de granot... DES ENCULÉS beatnick...

Il regarda la fille, voulant la laissé sans attendre sur le bord de la route a sont triste sort... espérant que la personne qui la ramasse la punisse comme il se doit. Il prit quand même l'initiative de prendre en note ce qu'elle disait, avec sa voie de petite piaffe et son haleine de vômit de lendemain.

Il se dirigea à l'hopital le plus rapidement qu'il le pouvait mais toujours conservant une sécurité de 100%...

La jeune adolescente continua sur d'autres phrases, mais cette fois-ci elle tentait de parler. Ce n'était plus récité, elle tentait vraiment de dire quelque chose sur le moment.

-Lui.. lui aussi yé devenu. Yé mort, mais vivant tu comprend ?

Elle tourna la tête vers Victor comme si elle commençait à se rendre compte qu'elle n'était plus dans le garde-robe.

Victor tantait de trouver une suite logique à tout ceci... il n'avait jamais été doué en français.... toutes ses suites illogiques de lettres le rendait irrité et impulsif alors lorsqu'il entendait des poêtes ou des "AArrrtiste" Victor n'avait qu'une seule envie, mettre fin a leur jour de facon tragique... de leur brancher les couilles sur une turbine hydro-électrique et voir a quel point le corp humain est endurant... Au moins soyez utile bande de connard crotté.

Après avoir eut une folle envie de balancer la jeune fille dans un lac, Victor continua à prendre en note ce qu'elle disait... Bien entendu, il calculait les courbes relative de la route pour que la voiture la suive sans problème et sans même diverger de sa route. Avec une résistance de 5,3458% de sa ligne de conduite vers la droite, il était plus que facile de calculer sur le coup une tragectoire sans risque.

"Vous n'êtes plus dans le garde-robe vous êtes en sécurité. Dit moi ce qui s'est passé."

Il savait également que la giffler diminuerait ses chances de la faire parler et de passer pour "amical" quoi qu'il en a rien à foutre d'une saleté d'illuminé presque au bord du bad trip ou d'un overdose de surnaturel.

Il lui sorti donc une bouteille d'eau énigmatiquement froide et un natchos avec fromage grillé également énigmatiquement chaud, comme s'il venait de sortir directement de son bloc moteur en fusion... HUMMM délicieux natchos.

Elle chercha dans son esprit, l'effort semblait insoutenable.

-Marc...[Victor se rapelle qu'il s'agit du nom du jeune vampire dont il avait un jour coupé les freins] ...y voulait me montrer quelque chose, y'était paniqué. Puis là.. un monstre est sorti de nul part et lui a parlé de sang et de sable. Il l'a torturé, vidé et la fait boire... de son sang noir et épais. Puis...

Elle sembla chercher encore dans son esprit, puis fronça les sourcils. Rien d'autre ne voulait sortir de sa bouche. Elle cligna longuement des yeux et lorsqu'elle les rouvrit ils devinrent rond et paniqué.

-AaaaaiiiiiiiH ! se mit-elle a hurler à l'adresse de Victor et constatant qu'elle est dans une voiture. Elle commença désespérément à chercher le loquet de sa ceinture dans le but de se jeter hors du véhicule.

Hummm intéressant, cependant, après avoir entendu sa dernière phrase et qu'elle commenca son "badtrip". Victor avait besoin des informations qu'elle possèdait, maintenant qu'elle avait terminé ses charades abracadabrante il était hors de question qu'elle saute en dehors de la voiture.

Heureusement, les serrures était à l'épreuve des enfants, cependant, il n'aimait pas que cette fille renverse le délicieux Natchos que Victor venait juste de caster pour elle. Il immobilisa la voiture pour tenter de maitriser cette jeune fille lui disant de ne pas paniquer que tout était terminé... En dernier recour il utiliserait son arme a feu pour lui trouer la tête.... mais bien en dernier recour...

-Touche moi pas espèce de pervers ! cria-t-elle.

Elle finit par réussir à se détacher. Elle pleurait de panique et son mascara avait entièrement coulé. Sa mémoire venait de s'effacer, elle s'était réveillée au beau milieu de la nuit dans la voiture de Victor après lui avoir raconté ce qui était en train de disparaître de son esprit traumatisé. Dans son esprit, il était clair qu'on l'avait drogué et Victor était le coupable.

L'idée de lui mettre une balle dans la tête était délicieusement envisageable, mais même si tel était son envie, il savait fort bien que les chances de s'en sortir était de très peu même échelonné sur plusieurs années. Il se contenta de parler à la jeune fille

Écoute je ne t'ai pas drogué, un jeune homme t'as emmené chez lui et c'est à partir de là que tu as du perdre la mémoire. Je t'ai trouvé et je t'ammenais à l'hopital pour un traumatisme. Si tu veux, on va à la police immédiatement et tu verras que tu n'a été sous l'effet d'aucune drogue et que je ne t'ai rien fait.

Sale petite trainé, Victor ne sais pas ce qui le retien de la balancer sur le bord de l'autoroute à plus de 120km/h pour voir son corps se désagrègé peu à peu par la friction.

Victor ne s'attendait pas que la jeune fille accepte la proposition qu'il venait de faire mais elle était tout de même fortement envisageable étant donné les circonstances.

Elle n'écouta même pas ce que Victor lui dit.

-Va chier !

Elle tenta de sortir du véhicule, puis constata que la portière était barrée. Elle chercha la commande, mais celle-ci était bloquée avec la sécurité pour enfant. Elle sembla rager intérieurement, se retourna vers victor et lui cracha en plein visage.

Si elle était en train de rager, Victor était sur le point de lui donner un upper cut et lui passer la tête par le pare-brise. Une envie folle lui passait par la tête de sortir son arme et BANG.. SURPRISE... mais encore là, il n'était dans une situation suffisament malsaine pour en arriver là.

Il s'essuya puis répéta à la jeune fille ce qu'il venait de lui dire calmement :"Tu es allé à la maison d'un dénommé Marc, une jeune homme assé attirant mais un peu étrange qui t'as dit qu'il avait quelque chose à te montrer. Je n'ai aucune idée ce qui t'es arrivé là-bas ni ce qu'il a fait mais c'est de là que tu as perdu la mémoire. Je t'ai trouvé et je t'ammène au poste de police ca te vas ?"

Cette fois, elle avait tout compris ce que lui dit Victor. Elle savait qu'il disait la vérité, mais comme elle n'était qu'une petite adolescente bornée en plus d'être complètement secoué par les évènements, elle tenta à nouveau d'ouvrir la portière. Elle y mettait moins de conviction certe.

Victor lui disait la vérité, mais elle ne voulait simplement pas lui faire confiance, elle ne le connaissait pas et se retrouvait dans sa voiture.

Après un petit moment à bouder et à laisser le calme faire le chemin vers ses nerfs, elle finit par répondre à Victor.

-Ouin... apporte moi au poste de police...

Elle se calma avec le temps, mais elle restait méfiante envers Victor. Néanmoins, elle lui posa des questions.

-C'est quoi qui s'est passé ? Marc yé où ? Et puis c'est quoi que tu faisais là toi, j'veux dire, comment ça s'fait que tu m'as trouvé ?

Même si une envie folle prennait à Victor de se gratter le wee-wee alors même que ca lui démangeait, il se dit que ce n,étais p-e pas le moment opportun ni la circonstance pour le faire.

Je passais par là par hasard, j'ai entendu des cries alors je suis rentré, je t'ai trouvé dans un garde-robe épouvanté par je ne sais pas quoi. Tu es encore sous le choc, je ne veux pas t'appeurer à t'en dire d'avantage.

Pour le cracha au visage, Victor voulait tout lui dire, histoire de la traumatiser d'avantage mais bon, elle était appeuré et ne comprennait pas.

Il se dirigea au poste de police local. Il savait que son arme lui poserait problème alors une fois arrivé, il dit a la jeune fille de se diriger à l'intérieur, il placa son arme sous la voiture, histoire de ne pas se faire coincé avec comme un incompétent, et ne pas la placer a l'intérieur advenant une fouille de son véhicule.

[Pourrais-tu me préciser si tu descends pour entrer avec la fille ou si tu te barres ? merci]

(Je cache les fusils et j'y vais avec elle, il n'y a que les coupables qui prennent la fuite.)

En entrant au poste Victor contrôlait totalement ses émotions pour ne pas paniquer. Il se dirigea non-chalent vers le bureau à l'entré voir un préposé :" Bonsoir, j'ai trouvé cette jeune fille prèt d'une maison dans un état de choc. Il semble qu'elle ait reprise conscience une fois dans ma voiture et croit sans doute que je l'ai violé ou pire encore alors je suis venu directement comme tout citoyen devrait le faire... du moins j'espère, histoire de m'innocenté."

Il regarda un dernier coup d'oeil à la jeune fille puis attendit patiemment qu'un inspecteur ou qui que ce soit d'autre vienne le mettre sous surveillance jusqu'à ce que cette histoire soit élucidé et Victor innocenté.

Le policier leva un sourcil, pas tout-à-fait convaincu que l'on puisse raconter une histoire aussi percutante en gardant le total contrôle de ses émotions. Néanmoins, il se devait de croire ce que Victor racontait, sauf si ses dires étaient contestés.

-Je vais voir si un officier serait disponible tout suite.

Il passa au devant du comptoir par une petite porte à ballant et s'approcha de l'adolescente.

-Ça va toi ? fit-il à l'adresse de celle-ci.

Les larmes vinrent aussitôt aux yeux de la petite qui ne savait visiblement pas quoi répondre à cette simple question. Le policier se retourna vers Victor.

-Je vais l'emmener voir la travailleuse sociale. Vous n'avez qu'à me suivre également Monsieur.. ?

Victor, je me nomme Victor. Il n'aimait toutefois pas le regard que l'officier lui jetta en levant un sourcil. Quoi qu'il en soit, il n'en avait rien à cirer. Un test de sang démontrerais que la fille n'a pas été drogué... du moins il l'espère et un test gynéchologique montrerait qu'elle n'avait pas été violé... ca aussi il espérait... du moins, un test quelconque montrerais que si elle a été violé ce n'étais pas lui. Pour l'histoire il n'aura qu'a changé un peu la vérité, il passait, entendu des cris, ces dirigié vers la maison, puis au sous-sol, effrayé par le sang et tout ce qui s'y trouvait, ouvri le garde robe... en bref, tout l'histoire, sans les fusils, vampire et autre connerie qui abbaterait sa crédibilité.

Il se demandait toutefois s'il devait parler de Thomson et Jim, la crédibilité de Jim n'était pas dans le tapis étant donné qu'il doit avoir plus de narcotique sur lui que de vêtement. Par contre celle de Thomson, un vieil homme assujetit a une crise cardiaque voyant l'horreur ajoutait un petit piquant.

Le policier le mena à un officier qui procéda à son témoignage. Il semblait croire pas mal tout ce que lui disait Victor jusque là. L'officier alla fermer la porte de son bureau et vérifia que personne n'écoutait à la porte.

-Vous savez Monsieur Simard. Compte tenu des évènements passés avec l'incident des médias concernant votre sécurité, je n'ai pas le droit de vous garder ici de toute façon.

Il s'assit sur son bureau.

-C'est des grosses conneries de bureaucrates, mais j'y peut rien. Par contre, votre appui sera nécessaire pour s'assurer la sécurité de la jeune adolescente. J'aurais besoin que vous me donniez l'adresse de la maison en question et si vous avez remarquer des détails en particulier, que vous les jugiez utiles ou non.

Victor était délicieusement stupéfait par l'attitude du policier.

Il y avait plus que des simples détail bizarre. Il y avait du sang plein le sous-sol, j'ai entendu des cris alors j'y suis allé sans trop prendre conscience des risques encourus. Il y avait du sang partout mais aucun blessé, ni corp, ni quoi que ce soit dans quoi le sang aurait pu se trouver. C'étais assé intence et perturbant.

Victor lui donna l'adresse aussi et attendit de voir la suite des évènements.

Je ne peux pas comprendre comment un être humain peu faire de telles attrocités. Ajouta t'il d'un air dégouté et appeuré

L'officier le remercia pour l'information, notant le tout par enregistrement.

-Très bien Monsieur Simard. Je vous rapelle également que vous ne pouvez pas quitter la province et que votre maison est sous surveillance. Ne soyez pas surpris que de temps en temps une patrouille vous arrête pour voir si tout va bien. S'il vous arrivait quelque chose, la police serait tenu responsable, ainsi que les médias. Nous n'avons pas la prétention de passer pour des imbéciles ni de permettre aux médias de mettre un poids sur les politiciens afin de prendre des mesures qui ne seraient surement pas favorables à notre position.... bref vous voyez bien le tableau. S'il vous arrive quoique ce soit, on est tous dans la merde.

L'officier lui assura que le poste de Trois-Rivières mettait tout en oeuvre pour reprendre le dossier qui avait été confié à Saint-Adjudor, "un poste de police de clampins et de fermier têtus" selon l'officier.

Victor pu alors reprendre sa voiture, et quitter les lieux.