Attraper un Vampire

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Ils prirent la voiture de Victor, c'était quelque peu à l'étroit dans celle de Thomson. La nuit était parfaite pour ce genre de cavale : assez chaude pour une nuit d'automne, un petit vent rafraichissant et un ciel complètement découvert qui permettait à la lune d'y voir quelque chose.

Ils empruntèrent donc l'autoroute 40 en direction de Trois-Rivière, Victor dirigeait les opérations, il savait où aller, bien que "comment attraper le vampire" n'était toujours pas déterminé.

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

Avant de partir, John trouva plus sage de passer chez lui ramassé quelques gousses d'ails et il convint les autres qu'il était plus sage de prendre 2 voitures. Si tout tournait mal, deux échapatoires était mieux qu'une. Alors, il prit de l'ail un pistolet silencieux,ainsi que son vieux camion toyota (mieu valait perdre le camion que sa vieille porsche) et il suivi Victor.

[Petite précision, étant donné que Miroslav et David n'ont pas pris d'armes à feu, vous pouvez en avoir une chacun. À moins que vous n'en vouliez pas.]

Victor savait bien que l'ail serait totalement innutile étant donné que jusqu'à maintenant rien n'avait fonctionné. Il referma son livre embarqua dans sa voiture et parti en direction de Trois-Rivières.

Thomson avait quand même raison. Statistiquement, deux voitures augmentaient leur chance de fuite de moitié. Il commencait à bien aimé le représentant des retraités... Victor qui croyait qu'il ne passait que leur temps à jouer aux fers ou au poches.

En direction de Trois-Rivières Victor jettait un oeil à sa bonne vieille musique. Il était temps d'acheter de nouveau CD... Judy Garland etait un peu démodé.

Quoi qu'il en soit. Une fois à Trois-Rivières, il passa une fois devant la maison de l'individu à la recherche de lumières à l'intérieurs, signe de vie et s'il y avait une voiture devant. Comme la dernière fois, sectionné les freins avait été un jeu d'enfant, Victor planifiait en refaire de même cette fois. Mieux vallait préparer l'assault de front, un brin de surprise, et aucun échappatoire efficace augmentait l'équation de réussite potentiel.

Il se fit un petit calcul mental en trippotant la monnaie dans sa poche pour se récompenser de l'exactitude de son plan.... que de jouissance...

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

John se stationna un peut plus loin et marcha nonchalamant en direction de la voiture de Victor. Le pistolet qu'il avait empruté était glissé dans la poche intérieur de son verton. Un veston bleu marine avec ligne vertical on peut plus foncée et poches pleinent d'ail. John regarda sa montre en glissant un suptil coup d'oeil à la maison.

La maison se trouvait dans le Trois-Rivières Ouest. Une petite maison bien ordinaire dans un quartier de la classe moyenne qui semblait tranquille. Voisin à la maison, il y avait un parc avec quelques unes de ces structures de métal aux couleurs pastelles.

Victor c'était stationné à une distance de la maison qu'il avait jugé, après calcul, convenable pour la fuite en cas de problème.

Les lumières de devant étaient allumées, mais celles à l'intérieur semblaient éteintes, du moins sur l'étage. Les fenêtres de la cave n'étaient pas visibles d'où se trouvait le groupe de Conscients. Il n'y avait pas beaucoup d'espace entre la maison et le trottoir, mais celle-ci était bien garnie d'arbustes et de cèdres. Les bardeaux rouges vins qui tapissaient la partie au-dessus du sallage étaient parcouru des petites branches d'une plante grimpante. Somme toute, la maison semblait plutôt accueillante, mais rien d'assez exceptionnel pour soutirer tout le stress qui pesait sur le petit groupe.

John s'approcha du véhicule de Victor.

[autre précision, je crois (tu me reprends si je me trompe guillaume) que vous avez des étuis torsales pour les flingues. Ce qui est pas mal mieux que de l'avoir dans la poche d'un veston]

(Je savais plus qu'on avait ce genre d'étuis... mais si Claude veut ce tirer dans le flanc c'est pas mon probleme... quoi que moi je vais me tirer dans le cul... je mets le gun dans l'étuis alors... et aussi, la derniere fois tu m'avais dit que sa maison était dans un trou perdu, pas dans un quartier délicieusement bucolique de la ville.)

Alors que Thomson s'approchait du véhicul de Victor, il essaya d'élaborer un plan pour arriver à prendre par surprise le vampire, s'il était bien là.

La dernière fois que Victor était venu, il avait fait le tour de la propriété pour voir les issues de secour. Le mieux, serait qu'une personne entre par devant alors que l'autre surveille la porte arrière pour empêcher toute fuite éventuelle. Par la suite, si l'individu ne fuit pas, l'autre entre et le tour est joué... ligoté sur une chaise avec du papier cul, un sac sur la tête et les oreilles plugué sur une prise électrique.

Victor expliqua à Thomson qu'il passerait par devant, entrerais et chercherait l'individu en question alors que Thomson surveillerais la porte de derrière pour empecher une fuite. Si dans un laps de temps raisonnable Victor n'était pas sorti, Thomson rentrerait... il y a deux option... soit Victor serait décapité par un fil de soit dentaire accrocher a la hauteur de sa gorge, soit il tiendrait l'homme en otage.

Quoi qu'il en soit.

Alors j'entre par devant alors que vous surveillez la porte arrière s'il tente de fuire, dans 2 minutes, si je ne suis pas sorti, c'est qu'il n'a pas tenter de fuir alors vous pouvez rentrer et l'opération sera un franc succes.

Victor n'avait jamais été un grand fan de tactique d'assault, domage pour lui, il y allait a l'aveuglette et savait de façon pertinente que le plan était délicieusement fouareux et refusait même de penser au % d'échec.

Victor attendit donc que Thomson soit derrière la maison et essaya subtilement d'entrer dans la maison par la porte de devant.

* * * lucide * * * Nombre de messages : 198 Date d'inscription : 08/10/2007

Jim avait placé le fusil dans son pantalon, en arrière. Il suiva Thomson en arrère et attendit.

Alors que Victor chantait intérieurement pour faire diminuer les efforts de son cerveau à combatre le stress, il était devant un énorme dilem. La porte d'entré qui lui bloquait l'intérieur de la maison de façon fatidique était peut-être vérouillé... Quoi qu'il était tôt dans la soirée et personne sur terre ne vérouille sa porte a cet heure... mis à part les vieillards et ceux qui ne sont pas sorti de la journée...

Il était confronté a deux option... soit ouvrir la porte en testant la pogné... si elle était barré et qu'il faisait trop de bruit cela déclarerait sa position et il ce serait fait auto-caca dans la figure... même si physiquement c'est impossible.

La deuxième option était, d'un grand coup de pied, ou coup d'épaule avec un élan, défoncer la porte. Voyant simplement la charpente de la porte, Victor devrait augmenter sa force musculaire de 34,4% pour réussir à peut-être briser la penture mais 67% pour l'ouvrir d'un seul trait... le calcul était vite fait, ses chances était aussi grande que de faire rentrer avec succes un gorille en l'avalant dans un condom, passer les douanes incognito et ce, en trimbalant 14Kilos de cocaine caché sous un chapeau.

Quoi que l'option était délicieusement envisageable, il se plia à la logique qui ne l'avait jamais déssus ou presque. Il prit le risque de commencer à tourner la pogné pour vérifier si la porte était barré. Si elle était barré il utiliserais ses délicieux talents de physique et de mathématique pour dévérouiller la serrure à l'aide d'accessoire banal qu'il avait toujours sur lui tel un trombone, une copie de son rapport d'impôt et un sphygmomanomètre qui trainait là, tout bonnement dans son manteau.

Sinon, il entrait à l'intérieur.

Dans les deux cas, il sortait son arme rendu à l'intérieur, enleva ses soulier pour être certain de ne pas faire trop de bruit, regarda autour à la recherche de son but premiere en entrant... trouver une paire de pantoufle pour épargner ses bas de coton idien fraichement sorti du pressing pour ne pas que le choc de température des soulier au plancher soit trop brutal, du fait même détruisant les délicants lien dans le tissage.

S'il ne voyait strictement rien, il allumerait sa lampe posant devant celle-ci son manteau pour tamiser la lumière et ainsi ne pas crier "JE SUIS LÀ"

Un jeu d'enfant.

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

Thomson se glissa doucement derrière la maison, sans faire trop de bruis sur la neige [ y'as-tu d'la neige dans l'coin ? ou on est encore en automne ? Je suis un peut perdu, j'aimerais quelques précision sur la température, l'heure svp.]

[On reste en automne sauf si un jour j'ai envi de changer. J'aimerais bien que tu prennes le temps de lire l'entièreté des posts, c'était pas plus loin qu'en haut de la page :

Citation :: La nuit était parfaite pour ce genre de cavale : assez chaude pour une nuit d'automne...

et mettons qu'il est... 21h (c'est surement illogique après les évènements qui ont eu lieu, mais bon)]

Victor
Victor s'avança jusqu'à la porte et commença à tourner la poigné délicatemment. Apparemment, le vampire n'avait pas pris la peine de la vérouiller puisqu'un tout petit déclic lui indiqua. La porte s'ouvrit tranquillement et Victor retira ses chaussures.

C'était très sombre dans la maison, mais Victor distinguait les pièces et les meubles sans trop de problème grâce à la lumière de la lune qui se propageait par les fenêtres. Il pouvait entendre la télévision, dont le volume était particulièrement fort, diffuser la musique d'une émission de variété bidon. Le son provenait du sous-sol et l'escalier se trouvait juste devant lui. Il n'y avait pas de pantoufles à sa disposition.

Thomson et Jim
Les deux hommes firent le tour de la maison sans faire de bruit. Jim se tenait derrière Thomson, pas nerveux du tout. Après avoir vérifié qu'ils ne pourraient pas se faire repérer de par une fenêtre, ils se postèrent chacun d'un côté de la porte.

Au bout d'un moment, la vue de Thomson se troubla un tantinet. Il vérifia qu'il portait bien ses lunettes. Un autre problème qui venait avec la vieillesse apparemment...

Victor savait qu'il avait été repéré, il pris un instant pour réfléchir à la situation, comme il ne connaissait pas vraiment le monde vampirique et tous ses critères de fonctionnement, Victor ne pouvait calculer une façon optimal du déroulement de la situation. Il pris donc la solution logique. Il rebroussa chemin et alla retrouver derrière la maison Thomson et Jim et dit:

Il y avait une voix dans ma tête qui me disait de vous laissez y aller en premier. Pointant de la main Thomson et il continua. Honnêtement ca transpire le piège, maintenant ils savent sans doute que nous sommes ici alors nous avons deux options. Soit nous quittons l'endroit sans problèmes... soit nous entrons et faisons ce que nous avions planifier... entrer et "kidnapper" les gens a l'intérieur... nous pouvons aussi entrer, défoncer la porte du sous-sol et tirrer tout ce qui bouge et qui semble humanoide sans hésiter.... cependant, nous risquons de tuer des gens normaux si il y en a.... et si les vampires ne se regénère pas comme dans le film, nous serons un peu mal...

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

Et bien si une petite voix dans votre tête vous a dit que je devais y allé pourquoi je refuserais ?

Dit John en instalant le cilencieux de son pistolet.

Ce sons peut-être mes poules qui me fonts signe de l'audelà...

Il prit la lampe torche de Victor et après un coup d'oeil rapide aux alentours... (si il y a un truc louche thomson fait rien de ce qui suis)

John mit deux balles dans la serrure, défonça d'un coup d'épaule et pénétra la propriété en jetant un regard ciruclaire sur la pièce. il était près à transformer en fromage suisse toute forme physique ou immatériel.

Il se rapelait trop bien comment il avait passé près de la mort quand lui et son fermier de voisin ont chassé le loup-garou.

Avant que Thomson ne fasse quoi que ce soit, Victor l'arrêta rapidement.

La porte de devant est dévérouillé, entron discretement, descendon dans le sous-sol et apres nous verrons. La voie ne semblait pas venir de mon imagination, peut-être quelque chose essaie de communiquer avec moi, si c'est pour le mieux ou non je ne sais pas.

Alors, que faisons nous ? Nous entrons discretement et allons directement au sous-sol ?

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

Vous auriez pu le dire plus tôt que la porte de devant n'était pas verouillée.

Dit John doucement pour que personnes n'entendent.

Bien, allons passé par la porte de devant. Moi d'abord vous ensuite et le petit en dernier.

il faut avouer que c'était beaucoup plus héroïque de ma façon...

Alors, John retourna devant la maison, mais cette fois, il s'atarda a regarder par la fenètre du sous-sol.

[J'aimerais laisser la chance à Jim de dire quelque chose avant de continuer. Je laisse jusqu'à demain (samedi) puis après je continue]

[ok, on continu]

Le fenêtre du sallage était très basse, John du se pencher pour regarder. Elles étaient bouchés, quelqu'un avait prit la peine de poser des panneaux à l'intérieur.

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

John montra aux autres la fenètre baricadé contre la lumière et sans un mot, il continua son chemin pour la porte d'entrée. Il l'entrouvie doucement...

avec l'arme en mains pret a plomber n'importe quoi du titan grec à la jeune fille en pleine grossese... en passant par les chien, les mignions et moins mignions.

* * * lucide * * * Nombre de messages : 198 Date d'inscription : 08/10/2007

Hrp: Désolé je n'ai pas accès a internet la fin de semaine. Je ne peu y aller que rarement mais mon nouvel ordi devrais arrivé cette semaine. ^^finHRP

Jim Bailla, légèrement fatigué. Il suivant Thomson d'un pas lent. Il ne se fesais pas très discret avec ses grosses bottes noir. Il se disait qu'ils avaient surement été detecter, de toute manière. Comme de fait, sachant que quelqu'un pourrait venir vers eux, il tenais son arme a feu a la main, visant devant lui a la James Bond des années 70, c'est-a-dire coude collé au flan, pour avoir l'arme le plus proche de son corp pour éviter que quelqu'un la lui enlève trop facilement.

*J'ai pu d'cash... j'ai envi d'en fumé un autre.... osti qui sont vieu. Cossé je fait avec so.... c ben lent, yon peur de quoi?* Toute ses pensées lui passaient par la tête.

Jim s'impasciente puis pousse la porte et entre imprudement dans la bâtisse. Il décide d'accepter de ne pas faire trop de bruit avec ses grosses bottes par principe de ne pas se faire tappé sur la tête par les vieux.

Victor regardait Jim et Thomson en ce disant que jamais il ne les inviteraient à venir chez lui. Ils n'enlevent même pas leurs bottes chez un parfait inconnu, alors il était sur le point de pleurer en pensant à sont délicieux parkait de merisié. Le nombre d'année d'usure simplement en un seul pas diminuais la survie de son verni assé pour presque le pousser dans les pommes.

Victor suivait les deux autres de prêt, arme en main et sur ses garde afin de tirer n'importe qui qui semble un peu trop offensif envers eux... quoi qu'il était quand même rentré par effraction dans la maison... il ne s'attendait pas que l'individu ne panique pas et devienne aggressif.

Jim entra dans la maison, il lui était pratiquement impossible de ne pas faire de bruit vu la taille de ses grosses bottes noires.

C'était très sombre dans la maison, mais on pouvait distinguer les pièces et les meubles sans trop de problème grâce à la lumière de la lune qui se propageait par les fenêtres. On pouvait entendre la télévision, dont le volume était particulièrement fort, diffuser la musique d'une émission de variété bidon. Le son provenait du sous-sol et l'escalier se trouvait juste devant eux.

Tout à coup, tout s'éteint. Veilleuses, horloges, télévisions, tout. Le seul bruit qui persiste est celui du vent qui se lève dehors, poussant les petites branches d'un saule contre une fenêtre.

* * * lucide * * * Nombre de messages : 198 Date d'inscription : 08/10/2007

.... Jim se gratte la tête.

Ya quelqu'un!?

Biensur, il ne crie pas par stupidité mais bien parce qu'il n'a pas peur de se faire remarquer. Il se dit qu'ils n'auront pas a combatre un ennemie si les intrus s'annonce. Du coup ils n'auront pas d'attaque surprise et nous éviterons des confrontations indésirables. Par ailleur, il supose que l'appel mentale qu'à eu Victor étais surement une invitation. Alors à quoi bon être discret.

Ensuite, les vampires ont pénétré illégalement sa demeure, alors il lui sera un motif légèrement utile pour pénétré les demeures des vampires. Oeil pour oeil, dent pour dent se dit-il.

Alors que Victor venait d'entendre une voix dire "Il y a quelqu'un" il commenca à calculer mentalement combien de balles il devrait cribler le corps de Jim pour tuer sa stupidité, recharger et être prêt à affronter le vampire dans lequel ils venaient tous les trois de violer la demeure... Le résultat mentale de Victor conscernant la fusillade envers Jim ne le persuadait pas de le faire. Le bruit sourd de son corps sur le sol risquerait malheureusement de faire plus de mal qu'il n'en avait déja fait.

Victor regarda Jim et fit signe de se taire.... Ce n'était pas le temps qu'un simili-junky trop stone pour comprendre qu'il y a du danger vienne faire en sorte que qui que ce soit meurt... mis à part lui bien sur.

Selon Victor, le simple fait de parler venait de réduire les chances de faire une entré fracassante de 98% et les chance de réussite de la "mission" de 37%. C'est toujours ainsi que les imbéciles meurt... "il y a quelqu'un" puis BANG... un alien dans la gueule, 3-4 coup de gun plasma dans les couilles, et les trips étalé sur un autoroute de 150km.

Victor attendit que Thomson y aille en premier comme il le désirait, puis Victor passa en deuxième... Jim venait de démontrer que son cerveau risque de ne pas arriver a faire fonctionner le fusil... ou pire, tirer sur l'un d'entre nous. Saleté de jeunesse désespéré. L'évolution des mathématique est en retard à cause de cette jeunesse retardé.

* * éveillé * * Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 08/10/2007

John se consentra pour voir dans ce noir et peut-être diserner un ombre ou quelque chose d'autre. Il préférait ne pas prendre le temps de réfléchir au propos un peut niet de Jimbo.

La lumière de la lune permit à John de voir devant lui. Il se mit à avancer. La soudaine panne de courant témoignait que l'hôte connaissait leur présence ou qu'un hasard, qu'aucune statistique ne pourrait justifiée, venait de se produire. Quoiqu'il en soit, John avança. Il savait, grâce à son pouvoir que quelque chose de maléfique se tenait à la cave.

La porte de la cave s'ouvrit un peu plus sous l'effet du courant d'air qui passait par la porte avant. Les fusils de John, Jim et Victor était heureusement équipé de lampe-torche s'ils avaient envi d'y voir plus clair.

Une ombre sortit de derrière le sofa à grand vitesse et frappa Jim au ventre avant même que l'un des trois hommes n'ait le temps de savoir ce qui s'était passé.

Jim fut projeté contre le fenêtre du salon qui craqua de part en part, puis se retrouva au sol un peu sonné.