Recherche d'armes

Après avoir mangé son muffin matinal aux 5 fruits, en commencant par les fruits les plus abondant dans le muffins, les bleuets, Victor essaie de faire la conversation pour savoir un peu l'histoire de chacun.

Alors parlez moi des autres, comment se sont-ils éveillé et entré en contact avec ce qui est surnaturel

En prenant soins de regarder autour pour ne pas que personne ne l'entende... pourquoi s'en ferait-il, ils sont juste tous les deux dans le restaurant, assis tout prêt du déjeuné continental délicieusement médiocre consitutué d'une pile de crêpes froide, des quelques toasts pas encore cuit et d'un panier de confiture individuel qui représente quantitativement 185% le prix d'un pot si on regarde sous l'angle de la perpective quantité prix. Une perte immonde, mais que les hotels peuvent se permettre.

Pendant le reste de la journée, Victor alla magasiné pour un nouveau complet, une nouvelle chemise, des bas et pourquoi pas s'acheter quelque livre sur le port et l'utilisation d'arme a feu simplement pour ne pas arriver les cullottes baissé devant les loups-garou ou les vampires avec le cran de sureté enclanché et inévitablement impossible à enlever à temps pour ne pas se faire défiguré et démembrer jusqu'à une mort de 100% efficace.

-Je ne connais pas toutes leurs histoires et je préfère les laisser raconter eux-mêmes lorsque nous feront un petite réunion, dès que ces histoires de loups et de vampires seront terminées.

Il afficha un air de dégoût en machouillant une crêpe. Le son de caoutchouc se faisait entendre dans une symphonie des moins apétissante. Il se força à avaler le tout.

-Je sais que John a déjà vu une sirène et qu'un garçon m'a déjà appeller en panique en me disant voir des fantômes, mais je n'ai pas eu de nouvelles... C'était si calme avant, je ne sais pas ce qui se passe ces temps-ci, mais ces pistolets vont nous être utile.

Moores offraient des bon complets à bon prix, mais ce n'était pas suffisant. Une mercerie pour homme réputée ferait plutôt l'affaire. Il y trouva d'ailleurs un fameux complet, sombre et fin, parfait pour ce genre de promenade nocturne.

Il trouva quelques livres, dont un sur l'utilisation d'une arme à feu. Bien qu'il était en anglais et qu'il n'était pas vraiment pour le modèle que Victor allait acheter, il donnait l'essentiel de l'information pour tout débutant. En faire des photocopies pour les autres seraient même très pratique.

Jamais Victor n'avait acheté ses complet chez Moores, le simple effleurement à idée d'y aller en passant devant lui levait levait le coeur au plus haut point. Oui, évidemment, ce n'était pas si mal pour aller dans un mariage médiocre d'amie en bas de l'échelle social, mais pour la réputation il faudrait reviser leur tactique. Quoi qui l'en soit, Victor alla chez une mercerie de très bonne réputation Italienne. Il en avait déja entendu parlé mais n'était jamais venu lui même... en fait il en rêvait au moins 15% de ses nuits.

Il était tout à fait émerveillé devant le soins et la finesse des complets... malheureusement, son armoire en était déja pleine alors Victor fit un petit ménage dans ses pensées à savoir ou construire un nouveau garde robe. Il en avait un vide au cas ou des amis viendraient chez lui mais personne n'est jamais venu dans cette chambre.

Victor acheta donc 3 complet et l'un encore plus chic que celui d'hier.

Par la suite, il alla à la banque retirer les 9000$ pour les armes. Il avait toujours sur lui toutes ses preuves d'identité et ses carnets dans sa serviette. Comme 23% des vols sont fait par des amis ou des personne proche, Victor ne conservait dans ses livres que les numeros de compte et les pièces d'identité s'y ratachant, il n'écrivait jamais de montant dans le carnet pour ne pas faire tomber qui que ce soit dans la tentation de le voler. Il savait pertinnament avec exactitude le contenu ses ses comptes jusqu'au moindre sous noir.

Pendant la journée il discuta avec Bastien pour essayer d'élaborer un plan pour venir à bout des problèmes les conscernants. L'idée des vampires lui était sorti de l'esprit mais les % d'affront augmenterait inévitablement de jour en jour. Il ne pouvait s'imaginé ce qu'elles étaient en train de faire à ce pauvre Kiss, sans doute baillonné dans un sous-sol miteux sur terre battu, entre une chaufrette et 10 corde de bois menacants de s'écroulé à moitié. Du moins sa peau ne serait pas sèche, 98.33% de ce genre de sous-sol sont très humides ce qui hydrate au maximum les ports inévitablement dillaté a cause de la chaleur de la chaufrette.

Victor se remémora tout en détail de ce qu'il lisait dans le livre à la bibliothèque, sachant pertinamment que tout le monde n'a pas sa mémoire, il fit des photocopie des instructions et des faits saillant pour l'utilisation d'un arme.

Sur l'heure du dîner ils s'arrêtèrent dans un restaurant vietnamien réputé, Bastien ne s'y connaissait pas trop en nourriture exotique et Victor du le guider un peu. Il apprécia malgré que selon lui un ragout d'patte de porc était encore imbattable.

Plus Victor le connaissait, plus il trouvait bizarre que cette personne s'intéresse autant au surnaturel et en connaisse beaucoup. C'était peut-être la seule chose dans laquelle il avait de la culture. Pour le reste, Bastien semblait plutôt un gentil bonhomme un peu niais.

Ils venaient tout juste de discuter de l'histoire de vampire, Bastien pensait aussi qu'ils prendraient leur revanche. Il raconta à Victor que les vampires, dans les créatures connues, étaient les plus difficile à cerner, car d'une région à l'autre ils n'avaient jamais les mêmes caractéristiques. Il affirma par contre que le pieu s'avérait efficace dans tous les cas selon la société des Conscients, un pieu de bois qu'on plantait dans le coeur du vampire.

-Ils sont généralement assez intelligent, mais pas énormément plus qu'un humain avec un bon QI. Souvent leurs sens et leur force sont multpliés. Nous savons aussi que les vampires d'ici vont au soleil et qu'ils ne sont pas vulnérable aux choses bénites, ce qui complique largement la tâche... Il faut les retrouver avant qu'eux ne vous retrouvent ça c'est certain.

Il regarda le "journal L'Action".

-Ah tiens, fit-il en affichant un sourire.

Il montra l'article à Victor.

Citation :: La Mafia Chinoise au grand jour.

La GRC en collaboration avec la Sureté du Québec a procédé à l'arrestation de 6 dangereux criminels dans un bâtiment suspect du vieux-port où le groupe en question torturait leurs victimes. Selon les autorités il s'agit là d'une faction de la mafia chinoise, prouvant que cette dernière existe vraiment. La chef de cette faction, Chi Liang Fu, a été arrêtée hier dans la nuit sur l'autoroute 40 en direction de Montréal.

C'est grâce à la description qu'aurait fourni Monsieur Victor Simard, ainsi que la collaboration du célèbre pilote de rally Brad Villeneuve, qu'elle a pu être arrêtée. Les intérogatoires permettront d'éclaircir la situation concernant le crime organisé au Québec et, espérons le, retrouver le jeune Jim Lacasse récemment kidnappé.

Depuis le début de l'enquête, 312 chef d'accusation pèsent contre Chi Liang Fu, dont les pires qu'on peut retrouver dans le code criminel.

Une bonne nouvelle, mais les médias n'avaient pas pu s'empêcher de mentionner son nom, quels imbéciles.

Victor n'avait plus du tout faim en entendant la lecture de Bastien. Une envie soudaine de vouloir renverser la table du restaurant dans lequel il se trouvait lui brulait le coeur. Il se contenta de se couche sur la table, la tête entre ses mains.

Quelle bande d'imbécile, ils arrêtes une gros bonnet de la mafia chinoise et mentionne mon nom. Quelle bande de boufon... et ma sécurité là dedans. Espérons simplement que l'Allemand n'a pas entendu cette histoire.

Évidemment qu'il était au courant. Tout le monde lis le journal, faisant parti d'une certaine étoffe d'un mafia, il est évidemment qu'il est au courant de tout. Avec un peu de chance, la mafia pour laquel il travaille n'est pas allié avec les chinois. Par le fait que les Chinois s'arrache le pétrole du Darfour de l'Afrique et les allemands également fait sans doute en sorte qu'ils ne s'apprécient guerre... du moins il l'espère sincèrement.

Victor sorti son calepin des choses à faire.

Choses à faire à longue échéance.
Gagner le prix nobel de trigonométrie. IN PROGRESS
Démontrer son intélligence supérieur à d'ancien enseignants jaloux. DONE
Se nourrir exclusivement d'amour, de soleil et de mathématique. IN PROGRESS
Créer le cercle parfait secrètement et l'emmener dans la tombe. DONE
Déterminer la valeur de Л secrètement et l'emmener dans la tombe. DONE
Obtenir un entrevue pour directeur général scientifique pour la nasa et se désister au dernier moment pour se vanger du moment ou ils m'ont refusé. DONE
Dominer le monde.
Prouver l'inexistance de Dieu. IN PROGRESS
Avoir mes 5 minutes de gloire. DONE
Actionner le service de police et les forcer à m'offrir une couverture efficace.

Avec un peu de chance, la police acquiessera à sa demande sans broncher. Son nom est tout de même mentionner dans un journal à la grandeur du québec. Il devra donc sans doute changer de nom et d'identité. SES ESPÈCE DE FUMIER. La mafia chinoise à le bras long. Logiquement, son appartement était déja assayi par des membres sous-fifre en train de déchiqueté ses complet pour se vanger. Hors de question d'y retourner.

Pourquoi ils ont fait ca, comme si les vampires n'avait pas 100% le dessus sur moi, il faut maintenant qu'avec se message, des gens de la mafia chinoises veulent se vanger. C'est totalement absurde.

Victor fit une nouvelle liste dans sont calepin

Chose à exiger du service de police comme assurance.
-Ce faire prendre en charge par la loi de la protection du témoin
-Dédomagement pour avoir mis sa vie en dangé flagrant face à une menace hors de leur contrôle.
-Se faire assigner un nouveau logis

N.B. S'il y a un problème, se trouver un collègue de l'université du programme de loi pour son propre bien.

Le soir arrivé, Victor s'arrangea pour être à 19h45 dans le coin du garage. et a 19h57, il sorti de la voiture, l'argent dans une serviette qu'il avait préablement acheté, à la vitesse de ses pas, il était à la porte à 19h58m10sec selon sa montre, connecté à l'horloge atomique par satellite. De ce fait, il laissait une marge de 1min50secondes parce qu'il savait pertinemment que tout le monde ne conservait pas un heure juste comme lui.

Il cogna, fit comme la dernière fois, demanda à voir l'Allemand et fit tout ce que les gens lui demandère s'ils désiraient le fouiller ou quoi que ce soit. Victor avait préalablement laissé son porte-feuille ainsi que toutes ses cartes dans la voiture, caché sous la feutrine recouvrant le pneu de secourd dans son coffre pour ne pas que l'Allemand sache qu'il est le Victor du journal.

Cette fois les jeux étaient fait, ils ne pourraient aller au restaurant pour son anniversaire. Du fait, il ne pourrait aller trois-rivieres pendant un bon bout.

Tout se passa comme prévu jusqu'à maintenant. Bastien était resté un peu plus loin. Le garde fouilla Victor brièvement comme la dernière fois et puis le laissa entrer. Un tas de nouvelles caisses jonchaient le sol de l'usine. Les voitures avaient été bazardées soigneusement dans un coin puis recouvertes de bâches. Les mécaniciens s'affairaient maintenant à déplacer les caisses à vérifier leur contenu. Trois hommes d'affaires chinois descendaient l'escalier, l'air à bout de nerf. Spieluhr se trouvait sur la passerelle près de son bureau.

-J'attend votre paiement la semaine prochaine messieurs, fit-il avec un petit sourire. Ah ! Bonsoir Monsieur Victor, rajouta-t-il enjoué alors que les chinois n'étaient pas encore tout-à-fait sortis.

L'un d'eux se retourna pour regarder Victor d'un air intérogateur, mais continua son chemin vers la sortie.

-Montez je vous pris !

Victor ne s'attendait pas à voir des chinois à cet endroit. Quoi que l'allemand avait l'air heureux de leur souvenir la date de leur paiement, Victor cru comprendre a 75% grâce au sourrir de l'allemand qu'il ne les aimait pas particulièrement. Cependant, le regard du chinois a l'égard de Victor lui fit un peu peur. Quoi qu'il n'y ait pas beaucoup de Victor, il se trouve tout de même à Montréal, il est fort facile de trouver d'autre prénom pareil au siens.

Il entra dans le bureau, donna l'argent à l'allemand comme il était convenu. Il avait le 9,000$ pile comme il le prix convenait.

Il lui fit glisser la serviette sur le bureau en restant debout ou, jusqu'à ce que l'allemand lui dise de s'asseoir. C'étais la moindre des choses de conserver une certaine politesse. Quoi qu'il lui achète des armes, les gens relaté au domaine criminel n'ont aucun ami et agir de façon amicale comme s'il se connaissait était fort déplacé et voir même, litéralement prohibé.

L'Allemand laissa entrer Victor en premier dans le bureau comme la dernière fois. L'énergie qu'il emmanait cette fois-ci avait l'air beaucoup plus enjoué. Il fit signe à Victor de s'asseoir et tourna la serviette vers lui pour l'ouvrir. Il vérifia le contenu comme il se devait et la referma.

-Tout est là ! fit-il, puis il prit un de ces petits appareils de communication sur courtes fréquences. Get the Six-U-N at my office... ok thanks. Il s'adressa de nouveau à Victor. Voilà, en attendant voulez-vous un cigare ? Vraiment pas dans mes habitudes d'en offrir, mais vous êtes le premier client d'une nouvelle ère montréalaise.

Il souria, trancha le bout de deux cigares et les alluma.

Victor entendait la chance thème du parain dans sa tête. Il ne comprennait pas ce que l'Allemand voulait dire par "mais vous êtes le premier client d'une nouvelle ère montréalaise.". Refuser le cigare était l'équivalent de lui cracher au visage. De plus, il était loin d'être le genre d'individu à fumer des cigars acheter chez Maxi.

Ma vie risque d'être trop courte pour ne pas profiter au maximum de ce qui se présente. Dit-il en prenant le cigar.

L'Allemand avait de belle dent blanche et bien droite, il est évident qu'il se les brosse souvent ce qui diminue les maladies buccales de 92%. Les chances d'attraper une malade de par sa bouche était vaguement inexistant. De plus, il n'avait pas mauvaise mine, ni blème, ni léthargique. Cependant, les chances d'attrapper une maladie imperceptible tel une épathite était bel et bien face à Victor. Mais une fois encore, il n'est pas le genre d'invidu à cotoyer des gens de basses sociétés donc les chances d'avoir une quelconque infection était diminuer, Victor ne connaissait pas tous les détails suffisant pour en faire un % efficace.

Victor continait à s'attendre de se faire démolir la gueule d'un moment à l'autre. Il prévoyait de deux à trop hommes baraqué armé de chaine, de pied de biche et de fausse jambe d'emputé de guerre. Il prit le cigar et le dégusta ayant l'air paisible se disant que si son imagination ne le trompait pas, ses chances était bien mince de réussir a y survivre, il ne voulait même pas émettre de % de peur qu'à ce moment, l'innéductable panique l'envahisse en sautant par la fenetre et s'enfuyant en voiture sur la 40 qui était tout prêt en criant des injures dans une langue qui se rapproche du latin mais qui est totalement imperceptible et efficace... comme les gens qui parle lors des annonces viagra.

Je me ravie de vous l'entendre dire, mais que voulez vous dire par nouvelle ère Montréalaise ?

Comme il avait lui-même mentionné cette phrase, Victor se justifiait mal croire que celà était impoli de demander.

L'Allemand prit une bonne bouffée de son cigare et songea un instant à mettre ses pieds sur le bureau, ce qu'il renonça à faire devant Victor.

-Vous lisez les journaux Victor ? demanda-t-il en sortant le journal l'Action de sous son bureau.

Il n'entendit pas de réponse de la part de Victor et lui montra précisément l'article ou son nom était mentionné. Pourtant, l'Allemand ne semblait pas avoir fait le lien entre lui et le nom dans le journal, il s'attarda plutôt sur la chinoise.

-Elle était dans mes pattes, fit-il en parlant de l'asiatique. Les chinetoks que vous avez-vu débarasser le plancher tantôt c'étaient de ses agents et ils sont pas prêt de se relever. Maintenant, c'est moi qui fait les affaires et d'ici la semaine prochaine ma liste de clients aura doublé.

Victor savait que l'Allemand avait sans doute fait un lien entre son nom et celui inscrit dans les journeaux. Même pas une attroce méguarde, cela ne pouvait lui échapper. Cependant, ceci avait l'air de faire son affaire. Il ne posa pas de question, ce qui rendais Victor plus à l'aise. Après tout, pourquoi serait-il néfaste pour Victor alors que par ses actions, il venait de faire augmenter ses chiffres d'affaire de plus de 100% et si ce n'est pas d'avantage.

Tant mieux si cela vous est bénifique. Dit-il sans se donne aucun crédit sur la situation. Victor pris le journal et regarda de plus prêt pour vérifier si les gens arrêté était bel et bien la salope de combat oriental.

Il attendit patiemment de recevoir ses armes. Il ouvri le paquet, regarda si rien ne manquait, inspecta un peu les armes prenant soins de ne jamais toucher au cartouche ni mettre les chargeurs dans le révolver pour ne pas qu'un mal entendu se termine avec une balle dans la tête de quelqu'un...sans doute lui.

Les hommes entrèrent avec deux malettes qu'ils déposèrent sur le bureau puis quittèrent. Victor les ouvrit pour vérifier leur contenu. Tout était là, soigneusement rangé dans les malettes moulées exprès pour l'usage. La première malette contenait deux des P99, avec leurs accessoires. L'autre contenait un P99, ses accessoires et les boîtes de balle. Aucune graffigne, tous en parfait état.

-Merci Monsieur Victor, vous reviendrai me voir si jamais vous avez besoin de quelque chose.. Une voiture par exemple.

Il présenta poliment la porte à Victor et le laissa se diriger vers la sortie.

Je conserve cette offre en tête. Si jamais j'ai quelques soucis concernant quelques biens que ce soit, je m'en souviendrai. Merci et bonne fin de soirée.Dit-il en faisant un signe de la tête et de la main puis quitta le bureau.

En chemin vers la sortie, Victor regardait un peu partout du coin de l'oeil pour etre certain de me pas tomber sur les chinois d'il y a quelques minutes. Il sorti de la batisse et se dirigea prompto vers sa voiture, démara et pris l'autoroute en directe de St-Adjudor. Il prennait soins de débarquer de l'autoroute à plusieurs occasion, histoire de voir s'il y avait des voitures qui le prenait en filature.

Dès lors qu'il savait que sa vie était en dangé par les vampires et maintenant les chinois, il était hors de questions de retourner à sa vie.

Tout en conduisant sur l'autoroute avec son genou, il sorti sont énigmatique callepin. Les chances d'avoir un accident sur une route droite lorsque la circulation était quasi inexistante était très faible, les probabilité était infiniement minime à moins d'une crevaisons qui était hors de l'état logique de Victor.

Choses à faire à longue échéance.
Gagner le prix nobel de trigonométrie. IN PROGRESS
Démontrer son intélligence supérieur à d'ancien enseignants jaloux. DONE
Se nourrir exclusivement d'amour, de soleil et de mathématique. IN PROGRESS
Créer le cercle parfait secrètement et l'emmener dans la tombe. DONE
Déterminer la valeur de Л secrètement et l'emmener dans la tombe. DONE
Obtenir un entrevue pour directeur général scientifique pour la nasa et se désister au dernier moment pour se vanger du moment ou ils m'ont refusé. DONE
Dominer le monde.
Prouver l'inexistance de Dieu. IN PROGRESS
Avoir mes 5 minutes de gloire. DONE
Actionner le service de police et les forcer à m'offrir une couverture efficace.
Créer une nouvelle vie 12% plus fabuleuse et fantaisiste que celle-ci.

Puis il repris le volant farfouillant dans sa tête ce qu'il pourrait bien changer, sa vie est déja à elle seule la chose la plus fabuleuse qu'il aurait pu vouloir atteindre dans son existance... quoi qu'il n'a jamais réellement su comment il était physiquement et mathématiquement possible de renverser les pôles et créer une immersion globale de la terre....

Il ressorti son callepin et fit un astérix à la fin des choses a faire a long terme.
*Devenir le nouveau "Lex Luthor" au niveau mondial.

Bien, il regarda Bastien: Nos problèmes seront bientôt réglé et nous retournerons à une vie normale. Dit-il en s'imaginant caressant un délicieux chat de race et regardant d'une base lunaire imperceptible l'inversion des pôles et la noyade de cette vermine putride. Il voyait très bien le restaurant chinois qui avait ruiné son anniversaire l'an dernier alors qu'il n'y avait pas de ce satanné riz dans une feuille de lotus. Une petite fringale entra en tête de Victor qui ouvri son coffre à gant et en sorti des rations d'astronautes...

Nous ne sommes jamais assé prudent lorsque l'on conduit ce véhicule on risque de tomber en panne n'importe ou à n'importe quel moment. Dit-il en tendant un Taco énigmatiquement chaud à Bastien.

Bastien dégusta le taco avec contentement, sans trop se poser de question.

En prenant une sortie, Victor se rendit compte qu'il était suivit, cela faisait deux sorties que la même voiture se trouvait non loin derrière lui. Il s'agissait d'une buick assez récente dans une teinte foncée.

Victor sentait une légère dose de stress en lui. Quoi qu'il était armé cette fois, il risquait quand même d'avoir des problèmes s'ils sortait des armes et tirait des coups de feu comme ca.

Les chances d'une réussite quelconque d'une fusillade sur un auto-route était très peu convainquante. De plus, les chances était moins de 0,01% que la voiture ne les suivait pas mais Victor savait bien qu'hélas, non, il était totalement impossible que la coincidence soit à ce point précise.

Victor se retourna vers Bastien lorsqu'il reprire l'auto-route : Nous sommes suivie depuis montreal. Ramasaser la mallette derrière vous, celle du dessus. Ouvrez là et donner moi le fusil, un silencieux et charger moi 2 chargeurs. Si vous n'êtes pas capable, tennez le volant pendant que je le fait.

Une fois l'arme chargé Victor essaya d'élaboré un plan. Les individus derrières lui apportaient plusieurs hypothèse.

1-Ce sont les chinois de tout à l'heure qui le suive pour voir s'il correspond a la description du Victor de Trois-Rivière qui à fait arrêter leur chef.
2-L'Allemand me fait suivre pour voir ou je me dirige et si je suis digne de confiance... peut-être même à savoir si je suis un tueur ou non.
3-C'est la police, désireuse de savoir qui je suis et ce que je faisais chez l'Allemand.
4-Ce ne sont que de pauvre Clétus, perdu dans le néant d'une autoroute vacante et qui le suis aveuglément sans raison.

L'option 4 était totalement éliminé. Cependant, les 3 précédentes n'étaient pas impossible. Victor ne roula pas plus vite que 100km sur l'auto-route, pour être certain que s'il s'agit de la police, elle n'ait aucune raison de l'appréhender.

Victor pris l'arme chargé, enleva le cran de sureté, mis le silencieux et le glissa dans son dos derrière sa ceinture.

Soudain Victor eut une moment intense de panique.... SON COSTUME... si couteux et si soigné, il ne pouvait prendre le risque de l'abimer ou pire... de le salir. Il enleva son veston pour diminuer les pertes imminente de 14%. Cependant il ne pouvait enlever son pantalon, ce pantalon envoyé sur terre dans le seule but d'avoir une coupe parfaitement ajuster pour son physique à lui et à personne d'autre.

Nous sommes réellement pris en filature, que devrions-nous faire... nous arrêté dans le milieu de nul part et les attendres pour savoir ce qu'ils veulent ? Je ne veux pas prendre le risque de les emmenés chez vous.

Bastien ouvrit la malette, regarda le fusil pendant quelques secondes puis le monta sans hésiter comme s'il l'avait déjà fait auparavant. Il installa le silencieux, remplit les chargeur, plaça le visé laser et la lampe de poche, chargea l'arme et la donna à Victor.

-Les polices ont des chevrolet normalement, remarqua Bastien. Enfin je crois.

La voiture les suivait tranquillement à une distance raisonnable.

-Aussi bien leur demander qu'est-ce qu'ils veulent, qu'ils tentent de nous trouer ici ou chez nous, ya pas de différence. Tiens, prenez la sortie pour Lanoraie, je sais qu'il y a un endroit pour s'arrêter.

Victor regarda dans son rétroviseur en ralentissant de facon discrète dans une courbe assé prononcé pour voir le mieux possible la situation et percevoir s'ils étaient plusieurs ou une seule personne. Victor ne voyait rien, le reflet dans le pare-brise de l'individu l'empêchais de voir distinctement le nombre de passagé dans le cours laps de temps qu'il le pouvait.

Il acquiessa donc à la requette de Bastin, lui disant de charger une autre armes et de se tenir prêt au cas. Victor dû malheureusement remmetre son veston pour dissimuler l'arme dans son dos. Il n'avait jamais réellement tiré d'un arme à feu, par contre au collège il était un tireur à l'arc particulièrement doué, il ne sagissait que d'évaluer la distance, le poids de la flèche la tension de la corde, la souplesse de l'arc, le vent, la dilatation de température, l'humidité et ainsi que la pression atmosphérique pour faire un coup splendire... facile quoi...

Cependant il savait que les armes à feu n'étaient pas ou très peu affecté par certain effet et la vélocité des balles n'étaient pas du tout la même qu'une pointe de flèche. Il n'étais pas tant inquiet du résultat, il savait qu'il devait fléchir légèrement les bras pour ne pas avoir un recul pour le blessé ni avoir une position droite, il visionnait plutôt une position tel un joueur de tennis. Sur la pointe des pieds, mais toujours en équilibre et en balance. Logique en bout de ligne.

Il suivit le chemin que Bastien lui disait, débarqua de la voiture et attendit que celle qui les suivaient arrivent. Il était placé de facon que si les individu essayait de l'écraser avec leur bagnole, il réussirait à se tasser attends.

La Pontiac Le Sabre bleu marin ralenti et se gare à une dizaine de mètre de la oldsmobile. Les vitres de la voiture était un peu teinté et Victor ne pouvait pas voir à l'intérieur. Un homme du côté passager descendit du véhicule.

Il était habillé d'un complet simple et assez souple, il n'avait pas de cheveux et était assez grand.

Il s'approcha tranquillement de Victor.

-Veuillez lever les mains en l'air Monsieur, que je les vois bien, lança-t-il assez fort pour que Victor et Bastien l'entendent. Ceci est un contrôle de police.

Victor leva les mains dans les airs comme il le demandait. Il se disait que cela était inhabituelle. Il ne montrait aucun badge et malheureusement pour l'indivu en question s'il était réellement une police. Il n'avait pas de raison de l'arrêter sans raison et encore moins de le fouiller lui et son véhicule sans raison et surtout sans mandat.

Malheureusement pour vous, vous devriez me dire pourquoi vous me suiviez depuis Montréal si vous êtes réellement un controleur de la police et tout ca sans me montrer votre insigne je ne crois pas que ce soit tout à fait dans la légalité des choses. Je vous demanderais donc de rester en place à l'endroit ou vous êtes et expliquez moi ce que vous voulez.

Même si Victor était à la limite de l'agonie lors de ses cours de droits tellement toute cette justice étaient ennuyante, il savait bien que la police n'avait pas de raison ni de motif pour son arrestation. Il n'avait aucun feu de brûler et ses papiers était bien en règle et il n'avait jamais roulé au dessus de la limite permise. Il doutait que l'individu n'était pas de la police mais ne pouvait en juger avec certitude. Il n'a jamais vue beaucoup d'arrestation mais la situation actuelle n'avait aucun sens pour lui.

L'homme s'arrêta à 5 ou 6 mètres de Victor.

-Gardez les mains en l'air je vous pris, demanda-t-il.

Il souleva son veston pour montrer son badge de la GRC, puis tout en mettant sa main droite sur son pistolet à la hanche, prêt à dégainer, il s'expliqua.

-Nous sommes à la recherche de Gary Sheridan à bord d'une oldsmobile comme celle-ci. Je vous demanderais de sortir doucement vos pièces d'identités. Il regarda Bastien. Sortez du véhicule Monsieur et garder les mains bien en vue je vous pris.

Bastien obtempéra.

Victor conserva ses mains en l'air du début à la fin. Mais fit un soupir: Vous m'avez fait une de ses peurs. Dit-il d'un tons plus que soulagé. Bien sûr. Les immatriculation de mon véhicule sont dans le coffre à gant et j'ai des pièces d'itentité dans le coffre, je me suis malheureusement fait volé mon portefeuille à montréal et j'en conserve toujours en sureté au cas, alors vous comprendrez que j'ai paniqué un peu lorsque je vous ait vu nous suivre. Bastien, appuyez sur le bouton jaune dans le coffre à gant pour ouvrir le coffre.

Le coffre ouvert, il était totalement vide, restant à bonne distance de l'homme conservant ses bras dans les airs, il lui dit que ses pièce d'indentité sont dans la poche, sous la feutrine ou la roue de secours. Elle était bel et bien là, carte d'assurance maladie, permis de conduire, carte de club vidéo avec 3 poincons dessus (louez en 4 et le 5ieme est gratuit). Il attendit que Bastien sorte de la voiture avec les immatriculations et les papiers d'assurance enregistré a son nom. Victor Simard et bien entendu plusieurs des pièces avec photos.

Avec ses histoire d'invasion de domicile et de poursuite sur les autoroutes j'avais presque peur que la personne qui avait volé mon portefeuille essayait de me prendre plus. Pouvons-nous baisser les bras maintenant ?

L'officier regarda les pièces d'identité attentivement et les remis à Victor.

-Vous pouvez baisser les bras, merci pour votre collaboration Monsieur Simard. Bonne soirée Messieurs.

Il retourna à son véhicule qui quitta en direction de l'autoroute. Bastien semblait un peu stressé et rembarqua dans la voiture.

-Par chance qu'il n'a pas vu les pistolets, marmonna Bastien un peu pour lui-même. Bon, direction la grange.

Une fois de plus, la logique l'avait remporté sur l'humain. Il était clair que Victor n'avait pas avantage à sauter directement aux conclusions. Il aurait pu faire comme dans les télé roman et se dire : Ils me suivent, ce sont des méchant BANG BANG MORT... Authentiquement, à la télé, ils auraient eut raison, mais dans la réalité les chances de Victor était plus faible que de se faire coincé en Thailande en train de violer un enfant et que celui-ci soit encore puceau.

Une fois encore, la froideur de l'esprit l'emporte sur la panique, la panique l'aurait inévitablement conduit à un échec de se contenir, l'aurait fait perdre la raison, donne une bonne raison au policier de le fouiller, de trouver les armes et l'accuser sur plusieurs chef d'accusation assé pour brimer sa réputation.... Une seconde, sa réputation était déja bafoué, il aurait du lui mettre une balle entre les deux yeux. Saleté de connard de chauve.

Il se retourna vers Bastien : Alors, il est comment ce tacos pendant qu'il sortait un délicieuse salsa et une sac de doritos grand format d'en dessous de son siège.

-Délicieux, répondit-Bastien.

Puis ils continuèrent leur route vers la grange. La voiture ne les suivait plus.

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