Miroslav Tristov [validée]

Carte d'identité
Nom du personnage : Miroslav Tristov
Sexe : Masculin
Âge : 32 ans
Origine : Tchèque
Métier/Occupation : Photographe
Description physique et vestimentaire

Miroslav est un homme plutôt petit, 5 pied 8 pouces, au visage juvenile malgré son âge. Il a d'ailleurs toujours paru plus jeune que son âge réel. Son visage rondelet et ses lunettes aux grosses montures noires augmentent d'autant plus cette impression. Ses cheveux noir charbon sont coupé court et toujours bien coiffé à l'aide de gel fixatif sur le côté. Miroslav a toujours été plutôt athlétique depuis qu'il a fait son service militaire obligatoire en République tchèque bien qu'aujourd'hui il ne consacre plus beaucoup de temps à l'entraînement. On voit d'ailleurs apparaître une légère masse graisseuse (communément appelé ''tire'') au niveau de son abdomen.

Miroslav porte pratiquement toujours un jeans avec une chemise à manche courte de couleur unie dont il possède un nombre impressionnant de toutes les couleurs. Lorsqu'il fait plus frais, il porte un blouson de cuir dont il est plutôt fier.

Histoire

Miroslav est né en République Tchèque. À l'âge de 18 ans, il a dû faire, copmme tous ses compatriotes, son service militaire obligatoire. Bien qu'une carrière dans l'armée n'était pas une option envisageable pour lui, cette expérience lui a permis d'acquérir une bonne forme physique, une certaine aptitude à la survie en situation difficile et une capacité à se camoufler dans son environnement. À sa sortie des forces armées, Miroslav a débuté des études en journalisme et en photographie qui lui ont permis de décrocher un boulot bien rémunéré dans un des plus grand quotidien de Prague. Afin de parfaire ses connaissances, Miroslav est venu faire un an de perfectionnement en communication au Québec il y a 7 ans. C'est durant ce voyage qu'il a rencontré l'amour de sa vie et a décidé de demeurer au Québec. Malheureusement pour lui, la vie n'est pas toujours facile pour un immigrant récemment arrivé et parlant peu la languer de Molière. Aucun journal important ne voulu l'engager et Miroslav dû accepter un boulot de photographe dans un journal à sensation. Comble de malheur, devant sa médiocrité, sa copine le quitta.
Miroslav s'adapta peu à peu au mode de vie québecoise et désira de demeurer ici jusqu'à ce qu'il puisse faire fortune. Il s'est donc muni d'une radio lui permettant d'entendre les ondes radio de la police et il s'efforce de rapporter à ses patrons les photos les plus sanglantes, dégradantes ou sexuels possibles.

Au cours d'une journée plutôt mouvementée, Miroslav entendit sur les ondes qu'un fou furieux se promenait dans la ville de Laval et mordait les passants. Il se rendit donc sur les lieux en vitesse et arriva avant les policiers. Il se cacha derrière un amas de poubelles. Ce qu'il vit lui glaça le sang, lui qui était pourtant habitué à voir des horreurs. Penché sur un corps secoué de convulsions se trouvait un homme au teint très blême, aux yeux rouges sang et aux canines proéminentes qui s'affairait à suctionner le sang du malheureux par une morsure au niveau de la nuque. Miroslav prit quelques photos avant qu'une auto-patrouille se pointe sur les lieux. Un grand policier bien habillé en sortit et interpella le suspect qui prit alors la fuite à une vitesse phénoménale. Le policier le prit en chasse mais revint quelques minutes plus tard à sa voiture, bredouille et visiblement secoué.

Croyant que ce policier en savait beaucoup sur ce genre ''de créature'' Miroslav décida de le filer dans les jours qui suivirent. Cette excursion l'amena dans les environ de Saint-Adjudor. À cette endroit, Miroslav surprend une conversation entre le policier prénommé Ted et un fermier du nom de Bastien de Loire. Parmis toutes les informations échangées, Miroslav retint l'existence d'un groupe appelé Les Conscients qui se réunissait régulièrement pour parler de phénomène paranormal. Si il pouvait entendre ce qui se disait lors de ses réunions, peut-être Miroslav pourrait-il réussir des clichés extraordinaire et ainsi devenir le célèbre journaliste qu'il était jadis. Miroslav décida de revenir espionner les prochaines réunions du groupe de manière incognito.

Description psychologique
Miroslav est un homme qui a été désensibilisé au fil du temps à toute vision d'horreur. Il est un homme amer du sort que lui a réservé sa terre d'accueil et il désire plus que tout réussir à monter au sommet et à devenir un journaliste célèbre. Il est prêt à beaucoup pour atteindre son but.

Aime : La célébrité, la solitude, la photographie, les sushis
Aime pas : avoir tort, être humilier, le sort réservé aux immigrants québécois

Aptitudes
-photographie
-Certaine aptitude au camouflage et à la discretion
-connaissance de base du maniement des armes
-parle le tchèque

Inventaire de départ
-Petit apartement à montréal
-Petite Néon 1996 rouillé
-Appareil photo 35 mm avec plusieurs lentilles, zoom et types de films
-Couteau suisse (toujours sur lui depuis le service militaire)
chambre loué dans un demi-sou-sol à St-Adjudor

Disponibilité du joueur soirs et fin de semaine[img][/img]

Je valide ta fiche ,

Je tiens à rajouter que vu l'âge de ton personnage, il a vécu beaucoup de bouleversements en République Tchèque. J'imagine que tu t'es renseigné. Son enfance en Tchécoslovaquie comnmuniste jusqu'à l'adolescence où se produit la Révolution des velours en 1989. Puis en 1993, la séparation du pays d'un commun accord avec les Slovaques.

De plus, si ton personnage a habité Prague, ces changements sont particulièrement visibles. Avant 1989 le pays est fermé et quand même assez étanche par rapport aux autres cultures. Il n'était toujours pas atteint par la culture américaine ou très peu. J'ai personnellement un professeur qui y est entré [après que les soldats lui aient extorqué son argent et aient décidé de ne pas le tuer... la corruption :/]. De ce qu'il m'a raconté, c'est comme entrer dans l'ambiance des années d'avant-guerre. Puis après 1989, le pays s'ouvre et aujorud'hui il s'agit de LA destination touristique en Europe, visité par plus de 2 millions de personnes entre Pâques et Septembre [On parle juste de la ville]. D'ailleurs l'architecture est l'une des seules à ne pas avoir subit les canon d'Hitler.

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