Vers l'hôpital de Trois-Rivières

-Vous allez devoir nous suivre. Veuillez mettre les mains sur le mur.

Le policier sorti les menottes et l'autre se plaça de manière à couvrir le plus d'espace possible si jamais Jim tentait de s'échapper.

HEIN!? TÉ MALADE TOÉ CRISS! Pourquoi vous m'arrêtez coliss!? Jim savais que la police allait trouvé le fusil dans ses pantalon, il l'avait completement oublié. Il devais inventé une histoire cridible..... a eh puis pourquoi ne pas leur dire la vérité en changeant un mot? ... ... ... Jim se débattait légèrement comme le ferais un rebel mais fini par se faire mettre au mur et menotte.

-Ah oui, c'est triste. Nous avons des bonnes raisons de croire que le véhicule a été volé. Une camionnette semblable a été vu près des lieux d'un crime. Laissez nous faire notre travail Monsieur Simard.

Victor n'avait même pas mentionné son nom. L'autre policier accota Jim contre la voiture pour entreprendre une fouille. Victor savait qu'il était fort possible que s'ils avaient déjà fouillé le véhicule ils avaient surement trouvé l'arme de Thomson, à moins que Jim l'ai sur lui.

-Allez, retournez chez vous, fit-il à Victor avec un très léger sourire victorieux.

Hey man(en regardant Victor), cé Simard ton nom de famille? Je savais pas que la police te connaissait. Enteco.. contend de t'avoir connu..

Jim savais qu'en prison il ferais connaissance avec des membres de cette mafia, eh puis, il trouve sa curieux que la police connaissent Victor, possible qu'ils se soient rencontré plus tot. Il espère qu'il ne s'agit pas non plus de faut policier, ce qui pourrait être le cas.

Le policier s'approcha de Victor puis se pencha pour lui parler.

-Ta gueule, fit-il avec un petit sourire baveux. Retourne chez vous avant qui t'arrive un accident à toi aussi.

Puis il se redressa et repris son air sérieux de policier. L'autre policier tâtait déjà Jim et venait de mettre la main sur quelque chose, probablement le flingue.

Victor était totalement saisi par l'attitude du policier, il ne savait pas trop quoi faire. Il était en fait en train de bouillir à l'intérieur avec une envie de lui dégomé sa gueule d'opportuniste. (Pouvoir à 1 psychologique a ce connard)

J'aimerais bien voir de quel accident vous faites mentions. D'un air aussi fendant que le policier.

(je fais mon pouvoir a 1, je cherche une faiblesse psychologique à ce foutu débile et dans le prochain post je lui largue une réplique chiante a ce trou duc.)

[Dsl Alex, j'ai effacé ton post comme il n'avait aucune composante RP mais je comprend ton enthousiasme ]

[Eyes of Justice : Victor voit Complexe de mégalomanie freinée : Le sujet est un trou du cul, il a toujours été dernier de classe, bon à rien, mauvais en sport, mauvais en sexe, un QI merdeux, il n'a jamais rien réussit. Il perd totalement le contrôle de lui même lorsqu'on lui rappel qu'il n'a aucun pouvoir sur rien.]

Le policier reprit un air sérieux et serra les poings en guise de second avertissement.

-Si j'te la montre l'accident, tu risques de pas être capable d'la raconter après, ça serait dommage.

Écoute mon gars, tsé la vie est composé de deux choses, d'un côté il y a les bonnes chose catégorisé dans le positif comme: la vie en général, les fleurs, les belles bagnoles, la santé, les gens avec un peu de géni, la paix dans le monde, les plus grosse peine d'emprisonnement pour les récidiviste et les alcolo et de l'autre côté il y a tout ce qui pourri la vie... si tu me suis bien on parle de chose qui son en train d'annéantir tout ce pourquoi l'humanité c'est batu jusqu'ici, on parle des avocats verreux, les pédophiles, ceux qui abuse du pouvoir comme certain policier.

Tu voies, toi tu fais parti de ce genre de chose, pas avocats verreux, mais plus policier corrompu, je voie déjà l'image... tu es né d'une famille dont tu étais l'enfant unique, gâté pourri qui faisait des crises pour avoir ce qu'il n'arrivait autrement pas à avoir... choucouté par ses parents même s'il avait le QI de chaloupe à rame, mauvais en classe alors qu'il se masturbait dans son sous-sol boucaneux parce qu'il n'arrivait pas à approcher une fille par son manque de confiance et surtout de chose intélligente à dire...

Victor regarde le type d'un air totalement détaché: "Tu me le dis si c'est assé heiinnn"

Ensuite t'a finalement réussi par tricher pour rentrer dans un école de police quelconque en te disant que c'est toi qui va faire chier les autres à partir de maintenant sans aucune raison logique... t'as sans doute réussi a entrer comme policier en broutant des mentries ou l'explication la plus plosible serait qu'un membre de ta famille était déja engagé t'as fait entrer comme secrétaire ou distributeur de café et de fil en aiguille en passant sur le visage de tout le monde à pied joint tu as réussi à devenir policier...

Victor commenca à soigner l'allure du policier, époussettant ses épaule pour enlever les petites mousse ou les cheveux mort sur ses épaule, sur son veston, arranger les plis dans sa veste. "A partir de maintenant tu as un allure fier, un uniforme qui augmente ton statu dans l'échelle de la cuteness, un air sûr de toi, une facade que rien ne peux ébranler... UNE POLICE, une vrai, un dure à cuire qui à le controle sur tout ce qui est autour de lui et qu'évidement conserve ce controle peu importe ce qui se passe"

"ENFIN tu es devenu quelqu'un, mais entre toi et moi,(se raprochant avec un sourire fendant comme le policier lui avait fait ) on sais tous les deux que c'est autant un messonge que dire qu'Hitler était pacifiste."

Le policier l'écoutait d'abord les bras croisés avec le sourire, en passant que Victor tenterait de le supplier de ne rien lui faire, mais peu à peu son sourire s'éteignit et fit place à de l'ebêtitude. La colère montait manifestement en lui, bien qu'il ne comprit qu'à moitié le discours de Victor, la plupart des expressions lui échappèrent et il n'assimila pas deux secondes la comparaison avec Hitler... ils ne comprennaient rien à rien, sauf que Victor riait de lui et qu'il ne trouvait pas quoi répondre à tout cela, ce qui fit monter la colère d'un cran de plus.

Toutes ses années à se faire chier dessus et même dans son uniforme de police il n'arrivait pas à intimider un "bouffon", professeur de statistique. La honte ! Qu'est-ce qu'il a à rire comme ça lui ? Esti d'enculé de p'tit pic.
Il serrait les dents, contenant sa colère ou l'activant de la même façon qu'un presto qu'on aurait oublié sur le rond, sans valve pour faire sortir la vapeur.

Bang ! Le policier donna un violent coup de poing à Victor après lui avoir empoigné la tête de l'autre main. Victor tomba à la renverse et le policier lui monta dessus pour enfiler une série de droites, c'est manifestant tout ce qu'il avait fini par réussir dans la vie, quoique la colère le faisait visé tellement mal que la plupart des coups n'eurent pas le choc voulu, heureusement pour Victor.

L'autre policier lâcha Jim puis tenta de maîtriser son collègue. Sans trop de succès, ils réussit quand même à l'empêcher de donner plusieurs coups de poing. Le visage de Victor, peu habitué à ce genre de gérémiades, était tout endolori.

-Arrête ! lui lança son collègue en tirant le gros con de sur Victor.

Deux infirmières fumant une cigarette regardèrent, outrée par la scène. Jim était libre, juste à temps avant que le policier n'ait vérifié ce qu'il avait touché dur dans le dos de son pantalon.

Victor pensait à son steak qu'il avait tendrement attendri lui même il y a de cela quelque temps, le bon vieux temps ou il avait encore une cuisine, un appartement et un four encastré en vitro-céramique. Sur le coup, il comparaissait son visage à ce steak de surlonge parfaitement tendre, qui fondait dans la bouche et se coupait à la fourchette, le genre de pièce de viande qu'on ne retrouve que très rarement.... hummm succulent.

L'adrénaline de Victor faisait en sorte qu'il ne sentait pas la douleur de facon aussi significative mais il savait bien que ce retomberait. La seule chose à quoi il pensa était ses dents, il passe sa langue sur ses dents pour être sur et certain qu'il n'en avait aucune de cassé.

Victor se leva alors que l'autre policier contenait le trou duc du mieux qu'il le pouvait. Alors qu'aucun des policiers ne le regardait, Victor se mis de dos aux infirmières, regarda Jim, fit un signe "gun" avec ses doigts et pointa un buisson discretement non loin de la ou Jim devrait aller cacher l'arme... tout ca de dos aux infirmières et de facon discrete... lorsque Victor su que Jim avait compris le message, Victor se dirigea vers les infirmières pour ne pas qu'elle observe Jim.. "Vous n'auriez pas un sparadra ou une crème anti-septique pour mes erraflures mes dames" d'un visage rougeâtre par les coups mais toujours charmant.

Jim "compris l'messâge". Il attendit le moment propice pour cacher l'arme dans le buisson puis il s'aluma une cigarette, toujours sur de lui, comme pour donné une raison de vouloir s'éloigné légèrement de la police (Vers le buisson quoi.) Puis il attendit sagement qu'ils se calment. ... ah pis c'est ben trop drole...

Sa s'dit une police pis cé meme pas capable de garder son calme... j'paye pour ça moé?! Dit-il avec un air sérieux mais avec une parcelle d'amusement.

L'infirmière outrée ne bougea pas d'un poil, trop abasourdi par ce qu'elle venait de voir, mais sa collègue prit Victor par l'épaule et se pressa de l'emmener à l'intérieur. Une fois là elle lui appliqua les soins nécessaires pour réduire les chances d'enflures et pour essuyer le sang de sa bouche, probablement issu d'une plaie fait au contact de sa joue contre ses dents.

De son côté Jim, fidèle à son absence totale de peur envers quoique ce soit, lança sa réplique au policier. Celui-ci, que son collègue venait à peine de calmer, fut aussitôt reprit de rage et tenta d'attraper Jim, mais son collègue le retenait.

-Heille, calme-toi bâtard !

Le gros con donna un grand coup d'pied dans la voiture pour se calmer, puis il décida qu'il embarquait Jim dans la voiture.

Jim se laissera appréhender sans résistance. Il salua Victor d'un mouvement de tête comme pour l'indiquer qu'il a fait comme il lui a dit de faire.

Suite de Jim

Retournant au poste de police de Trois-Rivière, le policier qui se trouva à la réception (celui qui n'avait pas cru à son histoire avec l'adolescente) fit de grands yeux surpris dès qu'il lu vu. Manifestement son patron devait lui avoir parlé, car il témoigna d'une politesse un peu plus exemplaire que la dernière fois.

-Ça va Monsieur Simard ? demanda-t-il l'air un peu inquiet, mais sans plus. Y'a pas 1 heure vous aviez pas cette tête là.

Victor demanda des informations sur le sort de Jim, mais le policier lui dit qu'il n'avait pas été informé de cette arrestation. Il fit consulter les patrouilles par radio et regarda dans ces registres. Victor continua en lui racontant l'histoire du connard de policier. Il vérifia donc, avec la description de Victor, de quel policier il s'agissait.

-J'ai en un qui fit le portrait. Patrice Monaghan.

Il tourna l'écran pour que Victor confirme que c'était bien lui, mais ce ne l'était pas. Aucun autre policier n'avait le portrait, il en vérifia quelques un avec Victor, sans succès.

-Désolé, mais on a pratiquement fait tous ceux avec les cheveux blonds comme votre description. On va envoyer une patrouille à l'hôpital.

L'espèce de fumier.... Victor aurait du lui exploser la gueule a coup de poing dans sa face d'Ouroukai directement sorti du seigneur des anneaux.

Il y a un moyen de retracer un véhicule de police ?

Il fit une description de l'autre policier juste au cas.

Si Patrice Monaghan n'étais pas ficher, peut-être que l'autre le serait... quoi qu'il en soit, il retrouvera bien se policier et cette fois il lui défoncera la gueule a coup de vérité dans le crane.... évidement aussi a coup de pied dans la gensive... pourquoi se contenter de lui, il devrait exécuter toutes sont ascendence et descendance pour êtere certain que cette adn souillé finisse par prendre le bord de la casse et remettre l'humanité sur la bonne voie....

Victor pensait éventuellement à un nom de super héros...un costume... un véhicule extraordinaire, évidement il ne croyait pas qu'un masque couvrant 12,3% de son visage réussirait à tromper son identité et un masque complet réduit la vision et augmente les risques d'accident de 16%... la vie est mal faite pour les super héros...

Ehhh bien il serait peut-être propice de faire un avis de recherche, ce n'était pas des policiers il semblerait et il portait bel et bien l'uniforme de Trois-Rivières.

-On peut toujours retracer un véhicule de police. Avec la description que vous nous avez donner nous allons faire enquête.

Le patron vint devant, celui qui avait été sympathique avec Victor plus tôt. Il sembla sous le choc, mais plus en colère qu'autre chose.

-Dès qu'on les retrouve, ça va être direct la prison et l'humiliation sociale dans tout les journaux. Croyez-moi Monsieur Simard, ce n'est pas ma semaine et c'est eux qui vont ramasser la merde !

Bien entendu, votre nom ne sera pas mentionné. À moins que vous n'ayez d'autres détails à nous donner, je serais plus tranquille si on vous faisait escorter chez vous, ou dans un endroit sure de votre choix. Manifestement, il y a quelqu'un qui vous en veux, je ne sais pas pourquoi, mais je le sens.

Il commença à pleuvoir à siot lorsque Victor prit la route vers Saint-Adjudor. Les routes étaient donc très calme et il se rendit à la grange sans aucun problème. Le camion remorque de Bastien était garé sur le côt éde la grange. En arrivant, il vit la lumière d'une lampe de poche à l'intérieur, puis sortant du véhicule il entendit la voix de Bastien.

-Ça va ? J'ai entendu du bruit sourd.

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